Le professeur Rony Akrich, nous livre sa version de Pessah – un processus entamé avec le “crime de lèse majesté” du sacrifice de l’agneau pascal – et de la sortie d’Egypte. Au micro du journaliste David Sabbah ce volubile enseignant du Mahon Meir, s’interroge sur les différents aspects de la liberté et notamment sur la part de volonté nécessaire à l’accomplissement d’un tel don. Il rappelle, le fait que les juifs n’aient pas tous entendu cet appel – ou qu’ils n’aient peut être pas voulu / pu l’entendre, mus par une conscience d’eux même différente.
En effet, 4/5 du peuple juif, 80% n’ont pas daigné s’extraire de la civilisation egyptienne. Seuls 20 % d’entre eux, une minorité, a bien voulu voir les signes de l’Eternel et suivre Moïse, sans protestation, vers un avenir incertain.
A l’instar de la minorité de juifs qui a bien voulu saisir la liberté offerte par Cyrus et suivi Ezra et Nehemia pour constuire le 2e temple.
A l’instar peut être aussi, de la minorité de juifs qui a décidé de réaliser la promesse millénaire, “l’an prochain à Jérusalem” en répondant à l’appel d’Herzl et de ses successeurs sionistes en entamant le processus d’Alyah.
Qu’est ce qui différencie ces juifs face aux miracles “naturels” ou “surnaturels” ? Comment définir la liberté offerte par la sortie d’Egypte ? Et surtout, est ce que le peuple juif mérite sa liberté ?
Les réponses du Professeur Akrich en vidéo.
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